8 mai 2017. Retour aux exercices ciblés pour combler les plus grosses lacunes. Aujourd’hui : les cheveux.
La première séance m’avait permis d’essayer quelques coupes et, surtout, de mesurer le long chemin à parcourir avant de pouvoir dessiner des cheveux à l’air naturel. La randonnée continue.
(Précision : j’essaie au maximum de travailler d’imagination, sans modèle, pour m’obliger à reconstruire mentalement le volume.)
Le suivant, l’air de rien, m’a demandé beaucoup de temps. J’ai eu beaucoup de mal à piger le coup des ondulations sur le dessin de droite parce que, une fois de plus, je ne pensais pas en termes de volume (et donc d’ombres) mais en termes de contours (et donc de traits). Au final, à défaut d’une exécution de qualité, je crois que j’ai compris le principe.
La mèche qui coupe le visage et les cheveux derrière l’oreille (dessin de gauche), ça n’a l’air de rien non plus, mais j’ai dû réfléchir et tâtonner longtemps avant de comprendre à peu près le principe. Eh oui, rien n’est vraiment simple.
Sinon, d’imagination, je ne sais vraiment pas faire une barrette :
Au passage, en esquissant rapidement le contour des visages, je crois que j’ai compris de manière quasi involontaire comment rajeunir un personnage grâce au contour pommette-joue-menton. Une bonne nouvelle !
Prochaine étape : l’encrage au Pocket Brush, que je n’ai pas sorti depuis 4 mois. Ça va être un massacre, j’ai hâte ! 😉
Le lendemain…
9 mai 2017 : opération Tignasse, phase 2.
L’encrage fut, comme prévu, difficile. Comme dans toute guerre, il y eut des moments héroïques, mais aussi et surtout des horreurs…
D’une manière générale, c’est insatisfaisant. Bataille perdue, mais la guerre continue…